mercredi 9 avril 2014

RÉSULTATS

2e secteur de Marseille (2e et 3e arr.)

1er tour

 Voix%
Inscrits31.564 
Votants14.51846,00%
Exprimés14.080 
  Voix%
Union DSollange BIAGGI3.40524,18%
DvGKaouther BEN MOHAMED7625,41%
FdGMarie BATOUX1.0017,10%
Union GEugène CASELLI2.45817,45%
LOIsabelle BONNET1210,85%
DiversOmar DJELLIL1991,41%
Ext GNicolas BAURAN340,24%
DiversLakbir MESSAS3132,22%
FNJeanne MARTI2.32916,54%
DvGLisette NARDUCCI3.35223,80%
DiversEddy CAMILLERI1060,75%

2e secteur de Marseille (2e et 3e arr.)

2e tour

 Voix%
Inscrits31.564 
Votants15.78350.00%
Exprimés15.126 
  Voix%CACM
Union DSollange BIAGGI7.21547,69%124
Union GEugène CASELLI4.93732,63%31
FNJeanne MARTI2.97419,66%10

dimanche 2 mars 2014

samedi 1 mars 2014

DROIT AU BUT AVEC LE FRONT DE GAUCHE

2e secteur de Marseille (2e et 3e arr.). Droit au but avec le Front de gauche

Marie Batoux, tête de liste dans les 2e et 3e arrondissements était hier avec Jean-Marc Coppola sur un terrain de foot pour parler équipements sportifs.
Terrain de campagne inédit hier pour Marie Batoux (PG), candidate du Front de gauche dans les 2e et 3e arrondissements : un espace sportif à l’ombre… de la passerelle de l’autoroute, boulevard de Strasbourg.
« On veut sortir la politique des lieux de réunions. On veut la remettre sur la place publique », explique la tête de liste qui juge « hallucinants » l’état et l’emplacement du terrain de foot. « Peut-on imaginer un endroit plus minable à réserver aux jeunes pour faire du sport ? C’est le témoignage d’un projet de société contraire au nôtre », indique-t-elle.
Elle donne symboliquement le coup d’envoi avec Jean-Marc Coppola, venu la soutenir, d’un match entre jeunes du quartier. L’élu des quartiers Nord qui conduit les listes « Marseille à gauche, l’humain d’abord dans notre ville », jugent également indignes les conditions offertes aux habitants pour la pratique sportive.
« Faire payer à l’OM le loyer qu’il doit »
« Alors que le sport est fait pour s’oxygéner, on cantonne les jeunes dans le bruit et le gaz carbonique. C’est la marque du mépris avec lequel la Ville traite les habitants des quartiers populaires dans ce secteur le plus pauvre de Marseille », dénonce-t-il.
Pour changer de politique il faut des moyens supplémentaires et le candidat du Front de gauche en a conscience. « Pour réhabiliter et créer de nouveaux équipements sportifs, commençons, au lieu de vouloir vendre le Stade, à faire payer à l’OM le loyer que le club doit. Moi je disais 11 millions d’euros, la cour des comptes dit pour sa part 9 millions. Allons-y ! »
Ce parti-pris pour des équipements sportifs publics, de proximité, accessibles à tous relève pour Marie Batoux d’une logique qui traverse toutes ses propositions : « rendre la ville au peuple. »
Ainsi s’étrangle-t-elle à l’évocation d’un centre de vacances privé dans le parc de l'ex maternité de la Belle-de-Mai. Elle, y verrait plutôt un espace familial avec « pourquoi pas des jardins partagés ? »
« Ce secteur manque de lieux ouvert à tous, même les associations d’insertion peinent à trouver des locaux. Il faut des moyens et redonner sa place au mouvement associatif », plaide Marie Batoux.
Possible de faire mieux
Pendant ce temps les jeunes sur le terrain se dépensent sans compter « même s’il y a souvent des blessures sur ce goudron pourri. »
Mehdi, 23 ans et habitant de la Joliette, estime qu’en attendant un vrai terrain des améliorations simples pourraient être apportées : « avoir des filets dans les cages, un bord de terrain entretenu… »
Que pense-t-il des propositions du Front de gauche en matière d’équipements sportifs ? « Franchement ça passe ! » sourit-il.
La Marseillaise, le 26 février 20142e secteur de Marseille (2e et 3e arr.). Droit au but avec le Front de gauche

MARE BATOUX PRÉSENTE LA LISTE DU 2ème ET 3ème

Front de gauche à Marseille. Marie Batoux présente sa liste dans les 2e et 3e arr.
La campagne du Front de gauche bat son plein, notamment dans le 2e secteur (2e et 3e arrondissements) où la chef de file, Marie Batoux (PG), a présenté sa liste. « Ici à Marseille, la finance a fait main basse sur la ville. Jean-Claude Gaudin l’a vendue bout par bout pour laisser la place aux multinationales qui font des bénéfices sur notre dos et délocalisent. Quand nous revendiquons une autre politique, on nous répond que les élus ne peuvent rien. Et les Marseillais se détournent de ceux qui ne viennent les voir que pour les élections », expliquaient les candidats pour définir leur démarche.
L’officialisation de la liste a eu lieu devant l’Hôtel-Dieu. Un lieu pas choisi au hasard. « L’Hôtel-Dieu, monument historique, a été transformé en hôtel de luxe par une multinationale. Il aurait pu devenir un lieu ouvert à tous, Marseillais et touristes ! Mais non ! On nous dépossède de notre histoire. Si Marseille doit être une ville accueillante, le tout-tourisme et le tout-commerce ne font pas une politique économique viable en termes d’emploi et le développement doit profiter à tous ! » Une orientation en parfait contre-pied avec celle de la droite au pouvoir à Marseille depuis 19 ans.
La Marseillaise, le 21 février 2014
 Front de gauche à Marseille. Marie Batoux présente sa liste dans les 2e et 3e arr.

vendredi 21 février 2014

MARSEILLE CAPITALE EUROPÉENNE DU SPORT !:! ! !

La liste Marseille à gauche jouera au foot ce mardi 25 à 16h00sous la passerelle de l'autoroute du soleil / bd de Strasbourg.

Pourquoi ?
Créer le débat sur les loisirs, le sport et les espaces récréatifs dans les 2ème et 3ème arrondissements où la situation est catastrophique.

MARIE BATOUX

 tête de liste, front de gauche des 2ème et 3ème arrondissements

Marseille capitale européenne du sport ? Une mauvaise blague de trop ! 

Marseille est candidate pour être capitale européenne du sport en 2017. Pourtant notre quartier est abandonné aussi bien par JC Gaudin que par la maire de secteur L. Narducci.  Nous n’avons plus aucune piscine ouverte. Les équipements sportifs sont inexistants ou presque. Les enfants des écoles ne peuvent même pas apprendre à nager…  
Nous proposons un plan d’urgence pour équiper le 3ème arrondissement d’équipements sportifs : piscines, city stade, stades et gymnases pour que la pratique du sport ne soit pas qu’un rêve.


Combien de parcs pour les marseillais du côté Nord de la Canebière ? Les quelques arbres qui restaient sont coupés et c'est la place au tout-béton ! Les quelques espaces de jeu pour enfants sont laissés à l'abandon.
Nous voulons que le parc de la maternité de la Belle de Mai puisse être ouvert aux marseillais. Ça serait quand même mieux qu’un centre de vacances ou un projet immobilier de plus ! Nous, nous préférons y voir des jardins partagés où tous pourront venir y faire un potager...
Combien d'enfants qui n'ont pas de place en centre aéré une fois les vacances venues ? La mairie revendique 3 centres sur le secteur ! Est-ce là tout ce qu'on propose à nos enfants ?!  



Vous pensez que ce ne sont pas des priorités ? Mais rendre sa place au peuple c'est aussi laisser des espaces à la vie, aux loisirs, aux jeux, pour que les habitants de toutes les générations puissent se rencontrer. Une ville où il fait bon vivre c'est possible !



Rendre la ville au peuple ce n'est pas un vain mot ! Nous le ferons avec le Front de Gauche ! 

samedi 15 février 2014

MUNICIPALES A MARSEILLE

Municipales à Marseille. A gauche, Philippe Foulquié monte au Front

Non pas pour se mettre en avant mais afin de clarifier les intentions de vote que lui prêtent dores et déjà certains médias nationaux, Philippe Foulquié, ex-directeur de la Friche Belle de Mai, tient à expliquer lui-même où il se situe sur l’échiquier politique des municipales : « Bien que parmi les premiers adhérents au groupe des Gabians et au Sursaut, et malgré toute la considération que je porte à la personnalité de Pape Diouf et à sa vision de Marseille, j’ai décidé de na pas soutenir la liste "Nouvelle donne". Mes engagements pour une nouvelle espérance à Gauche, que devraient porter tous ceux qui ne veulent plus de cette politique qui s’attaque à tous les symboles progressistes (salaires, SMIC, Livret A, culture, progrès sociaux…), font que je ne peux admettre cela : que l’on écarte le Front de Gauche de toute tentative d’unité à Gauche du PS. J’appelle à construire cette espérance en votant pour le Front de gauche les 23 et 30 mars prochains. »
La Marseillaise, le 12 février 2014

dimanche 2 février 2014

74 RUE DE LA JOLIETTE LOCAL DE CAMPAGNE DU 2ème ET 3ème


Front de Gauche. Marie Batoux prend ses quartiers à la Joliette pour mener campagne

Marie Batoux, candidate Front de gauche dans le 2e secteur (2e et 3e arrondissements) a inauguré hier son local de campagne au 74 rue de la Joliette. Jean-Marc Coppola, tête de liste Front de gauche à Marseille et Marie-Jo Cermolacce, élue de secteur, étaient présents pour la soutenir. « Nous inaugurerons un lieu pour tous ceux qui veulent renverser la table à Marseille avec une alternative à gauche qui rend la ville au peuple. Lieu de tous ceux qui veulent sortir du clientélisme et construire un avenir solidaire basé sur l’intérêt général » a indiqué la candidate et son équipe.



lundi 13 janvier 2014


Municipales. Le Front de gauche a dévoilé hier depuis le Mucem ses chefs de file pour les 8 secteurs de la ville. Ni femmes ni hommes providentiels, mais une invitation à se réapproprier la politique.

A Marseille, un appel à l’insurrection citoyenne

 Pour le Front de gauche, les 8 secteurs de Marseille ont désormais des noms et des visages. Elles et ils vont engager jusqu’au 23 mars prochain, date du 1er tour des municipales, une campagne qui n’aura « rien de traditionnel », promet Jean-Marc Coppola. « Les discours ça va bien une minute, il faut passer à l’acte », martèle celui qui a volontairement plagié le titre de la nouvelle expo du Mucem : « Un monde à l’envers ». Et ce n’est pas un hasard non plus si les candidats marseillais entendent retrousser leurs manches pour remettre ce monde à l’endroit. Après 18 ans de droite au pouvoir local, il est temps de passer à autre chose. Après la victoire des marins de la SNCM, si tout montre qu’un changement est possible, Jean-Marc Coppola, leader du FdG, entend rassembler toutes les bonnes volontés et a même invité à une insurrection citoyenne.
Tourner le dos à la fatalité « Nous voulons dépolluer Marseille des gaz qui l’étouffent, des trafics qui la gangrènent, du clientélisme, répondre aux préoccupations sociales. » Mais on ne gagnera pas un retour à la confiance en un claquement de doigt. « Il faut montrer que cela est possible. Il n’y a pas de fatalité » pour Samuel Johsua. Quand Marie Batoux insiste sur la volonté de construire « une alternative jusqu’au bout ».
Ça et là au sein même du PS, des doutes s’expriment. Des militants du « Sursaut » ont fait part de leurs intentions. Au-delà, c’est l’idée de construire des listes de large rassemblement qui grandit un peu partout. Lorsqu’au mois de décembre dernier Jean-Marc Coppola avait lancé l’invitation à un large rassemblement, les réponses s’étaient faites attendre.
Aujourd’hui, il faut croire que les lignes bougent. « Tout est ouvert », a insisté Jean-Marc Coppola, dont l’organisation a jusqu’au 6 mars prochain, date butoir pour déposer ses listes. Mais il n’y aura ni femmes ni hommes providentiels pour le Front de gauche qui a encore 70 jours pour convaincre et changer la donne. « Cela ne peut plus attendre », confie Sandrine Cartier, candidate d’ouverture, marquée par un mouvement social éprouvant au sein de la clinique Beauregard.
S’approprier l’espace public du Mucem, c’est comme ne rien s’interdire en politique. Cette place offerte est bien plus qu’un symbole. Car c’est d’une toute autre conception de la politique dont il est aujourd’hui question. La première des priorités sera de restituer le pouvoir aux Marseillais.

Des Marseillais étaient invités à occuper l’espace public hier, à l’occasion de la présentation des chefs de file du Front de gauche pour Marseille. C’est parti jusqu’au 1er tour
Les chefs de file du Front de gauche sont désormais connus.
La campagne va prendre une nouvelle dimension : débats, assises...
C’est à partir de propositions très concrètes bâties à partir des 8 priorités pour Marseille que les militants vont mener une campagne de terrain assidue tout en continuant à travailler au rassemblement le plus large.
Les choses vont un peu plus s’affiner dans les jours à venir, avec l’inauguration du local de campagne prévu le 20 janvier prochain à 18h, au 23, boulevard Salvator dans le 6e arrondissement de Marseille.
Le même jour, mais dans la matinée à 11h à l’Inter Hôtel, les deux chefs de file, arie-Françoise Palloix (6/8) et Jean-Marc Cavagnara (9/10) donneront une conférence de presse commune sur le scandale du tunnel Prado Sud, entièrement financé par les  deniers publics.
Marie Batoux (2/3) Dirigeante nationale du Parti de gauche, agent territorial, elle mènera campagne dans un secteur où se trouve le Grand port maritime et Euroméditerranée.
Isabelle Pasquet (4/5) Sénatrice communiste, cheminote, syndicaliste, va faire face à Bruno Gilles et disputera face à Marie-Arlette Carlotti une alternative à gauche.
Marie-Françoise Palloix (6/8) Conseillère communautaire communiste, membre du conseil d’administration du Parc national des calanques, ancienne salariée des Impôts.
Jean-Marc Cavagnara (9/10) Salarié et syndicaliste à Pôle emploi, responsable du Parti de gauche, ancien dirigeant national syndical à l’Unedic. Très actif contre le travail dominical.
Sandrine Cartier (11/12) Candidate d’ouverture issue du mouvement social, infirmière syndicaliste, non membre d’un parti politique. A mené un combat victorieux à Beauregard.
Samuel Johsua (13/14) Universitaire à la retraite, ancien dirigeant de la LCR puis du NPA, représentant du mouvement Ensemble, 3e composante du Front de gauche.
Christian Pellicani (1/7) Conseiller municipal communiste sortant, « père des Batobus » et animateur d’une association écologiste. A dénoncé des pratiques illégales (hôtel de luxe).
Jean-Marc Coppola (15/16) Vice-président de la région Paca où il a initié la gratuité des transports régionaux pour les jeunes de moins de 26 ans, ancien cheminot et syndicaliste

La Marseillaise